.
Le calme plane au dessus de ma tête
Attendant, cette cruelle et affamée bête
Soudain, avec une grande lenteur,
Voila ses crocs s’enfonçant dans ma chair, douleur !
Proie tentant faiblement de se débattre
Je compte chaque seconde : une, deux, trois, quatre,
Et ma vision s’efface dans le noir
De l’ennui insidieux dont ma vie est miroir.
.