Cinquante-et-un

.

Mon oiseau a les plumes

Aux couleurs noir de jais,

Le bec odeur agrume,

La peau chaleur de brume,

Le cœur plein de projets.

Un oiseau sans pareil

Dont les yeux océan

Et perles de soleil

Aux doux reflets vermeils

Dansent en mon céans.

Et qu’il vole si haut

Scintillant sous les cieux !

Me voilà qui prie, “Ô,

Vous, beaux et puissants dieux,

Accordez moi cette eau

Vive comme les mots

Qui coule sous mes yeux.”

.


Je suis pas tout à fait satisfait de celui-là, sûrement à retravailler plus tard.

Un des poèmes les plus frustrants à écrire jusqu’à présent parce que trop d’idées à caser avec une vision hyper précise de ce que je voulais…

Et je ne sais pas si j’ai réussi, donc doublement frustrant. Mais amusant tout de même, un petit défi très intéressant !

A bon entendeur salut ! ;)

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