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Quand retentit le dernier mot
Et tombe la dernière voix
De tous ces étranges jumeaux,
Là, comme la première fois,
Le voile d’obscurité tombe
Attisant par là le silence;
Et de cette douce hécatombe,
Oh ! non sans quelque rutilance,
Renaissent alors les héros
Ayant insufflé mille vies
À la tragique comédie
Dont les musiques et chansons
Furent de grands et beaux hérauts,
Arborant des mines ravies
Lorsque le public leur dédie
Un vivat sans contrefaçon !
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