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De ces mots le vrai sens
Tu ne connaîtras point,
Reflets de mon essence,
Je les cache avec soin
Par myriades d’images
Que jamais je n’émonde,
Tel un sorcier, un mage,
Façonnant ce grand monde;
Dans mon esprit, le corps
Est sculpté sans défaut
Mais son coeur dort encore
Et son rythme bat faux,
Cependant je me perds
En méandres obscures
Sans même un seul repère,
Que je ne me torture?
“Ô, pourquoi ne renonçes
Tu à cette folie?”
Entends-je bien souvent
Ceux-là m’interroger
Et pour toute réponse :
“N’est-elle pas jolie ?
Et le chemin devant
Point qu’à son périgée ?”
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Ouais, ouais, pas grandement qualitatif ce soit…