.
Que le poète ne s’endorme
Afin que de son cœur énorme,
De ce gouffre noir et béant,
Ne se réveillent les Titans,
Sombres et antiques géants,
Dévoreurs de vie et de temps,
Car pour cet enfant innocent
Qui se cache dans ce grand corps
Espérant toujours et encore,
C’est lors l’orage mugissant
Venant engloutir tout son monde;
Oh ! Nul ne peut lutter contre elles,
Bêtes sauvages et immondes
À qui la peur donne des ailes…
.
C’est pas encore parfait mais les images me parlent alors voilà.