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Un, deux, trois, quatre,
Dansent les petites flammes dans l’âtre,
Quatre, trois, deux, un,
Le feu et ses douces braises se sont éteints.
Un, deux – trois, quatre,
Sens-tu ce vieux cœur encore battre ?
Cinq, six – sept, huit,
Et vois-tu le temps qui prends la fuite ?
Neuf, dix, dix, neuf,
Bien trop de fils et de sang neuf
Huit, sept, cinq, six,
En grand désordre et artifice
Quatre, trois, deux, un,
Entretenons le brasero
Et pour tout unir, le zéro,
Que l’on garde pour la faim.
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Le conte est bon.