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Du noir poison se redresse
Le brillant phénix rené,
La vérité redevient maîtresse
Mais leur secret n’est point pardonné,
Quand minute devient heure,
Quand un an en devient cent,
Mais que le souvenir ne demeure
Éternel l’espace d’un instant
Si court que l’on ne peut le compter
Avant qu’il ne se soit effacé,
Et nul ne puisse chasser
La fin ni onc la dompter,
Ainsi gisent dans le noir,
Sans nul souffle ni espoir,
Les deux cœurs privés de leurs tambours,
Pris dans l’éternel compte à rebours…
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Une traduction de celui-ci : R’n’J.
Pas parfait mais pas trop mal.